We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

Le Bon Gars

by Aldric Lizzard Seven

/
  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      $9.99 CAD

     

1.
Pourrais-je un jour m’accrocher à quelque chose? Combler ce trou que tu me laisses, comme une grande névrose. J’ai bien peur qu’un de ces 4, ce soit la résignation, Mais pour l’instant, c’est de l’adoration… 1/ J’ai comblé le manque de toi, par de mauvaises habitudes, Alors ne demande pas pourquoi, c’est l’heure de ma décrépitude. Tu es la seule qui enlève le poids, de mon malaise de m’accomplir, Et pour t’atteindre je garde la foi, que mon message soit bien compris. Les journées s’écoulent, et semblent interminables, Et mon moral s’écroule, par cœur mon perméable. Car mon être est incomplet, et tu es la dernière pièce, Alors je suis bien contraint, de me détruire quand j’acquiesce. À la présence de chaque femme, je t’imagine, toi l’idéale, À travers mes fantasmes, et mes idées d’mâle. Je suis de plus en plus seul, et toi de plus en plus belle. Dans le noir, je me console, de t’espérer comme ma prunelle. Pour que tu puisses m’aimer, il me faudrait, ton mémoire, Et pouvoir, tout d’abord, me regarder, dans le miroir. Mon esprit et mon corps, sont loin, d’être sains, Mais pour toi, je voudrais encore, redéfinir mes desseins. Refrain : Où es tu, quand je sombre, dans le chaos…? Pourquoi tu, te démènes, pour m’mettre K.O. …? Où es tu, quand je sombre, dans le chaos…? Toi la femme, dans la pensée…, de l’homme seul… (Bis) Outro : Mélodie de voix
2.
Je veux prendre le temps, De te parler, toi ma belle voisine. 1/ Les journées se placent et se ressemblent, Mais à ta vue, je n’ai peur, de les ressentir. Éphémère mais très puissant, Ton contact me ravive quand je t’vois sortir. Je te pose quelques questions, Et désolé mon approche très timide. Pourrais-tu ôter la pression, Quand le monde s’alourdit pour me rendre vide? Cet échange est bien rapide, Mais ton regard, je ne veux plus le quitter. Tout à coup je deviens lucide, Quand je parle des sujets les plus réputés. Rien de nouveau dans le quotidien, Mis à part que je trime pour réussir. Tu ne sais pas mais tu me fais du bien, Et dans la rage, je ne veux que m’adoucir. Refrain : Je veux prendre le temps, De t’écouter, quand la vie me mine. Je veux prendre le temps, De te parler, toi ma belle voisine. 2/ Je te vois t’égayer sur mes proverbes, Quand les passants nous observent dans la belle cité. Inspiré du grand Jules Verne, Je t’emmène dans mon monde, sans le réciter. Et si je t’vois pendant une course, En routine, quand les modes de vie conspirent, N’hésite pas à me faire du pouce, Pour qu’ensemble on essaie de se construire. Avec toi, je ne mens pas, Car ta distance, me préserve, de me repentir. Détachement bien trop rentable, Que souvent, j’imagine, nos âmes compatir. Et je tiens à ce moment. Inutile de penser à le compliquer. Mais tu sais, je suis un homme. Ne te retiens pas pour m’inviter. (Refrain) Ton sourire troublant, vient m’animer… Prêt pour l’combat. Tu as fait ma journée…
3.
À toi ma douce, ma fleur, toi la meilleure thérapie, J’espère, que nos jours, ne seront jamais ratés. De l’été, à l’hiver, ou sous la pluie battante, Je ne fais, que rêver, et c’est toi, qu’j’attends. Je te veux, près de moi, quand je m’évade, Et te couvrir, de baisers, au bruit des vagues. Car je me sens bien, auprès de toi, Qu’on soit dehors, ou sous un toit. Refrain: J’ai envie de m’envoler quand tu me tiens la main, Te coller et t’embrasser sans penser à demain. J’ai trop de besoin de toi… Chérie ne t’en vas pas. (Bis) Avec toi, je n’ai plus la peur de tomber, Quand tu tiens mon cœur, mon corps, mon âme. Avec toi, je n’ai plus la peur de me tromper, Quand tu m’donnes, confiance, chérie, je plane. Avec toi, je me sens plus forte pour braver, Car il y a moins d’épreuves, qui me malmènent. Avec toi, je vis les moments sans compter. C’est l’heure de la trêve, plus de problèmes (Refrain) 2 fois J’ai envie de m’envoler…, Te coller et t’embrasser. Car j’ai d’l’amour à donner…, D’l’énergie à dépenser. (Bis) (Refrain)
4.
C’est reparti, un autre jour dans l’habituel, Que je marque par la joie, qui est mon rituel. Aucunes tâches dans ma course traînent. J’ai peu de temps, faut que je file, dans cette vie pleine. C’est le boulot d’abord, et la passion qui suit, Pour une famille en forme, et des amis aussi. La réussite je l’ai prise pour cible, Car toucher la gloire, ne m’est pas impossible. (aaah!) Dans ce monde on vise, la quantité, Pour manquer de rien, dans notre identité. Même pour la santé on sait, ya pas de pitié, Si on veut du nouveau, ya pas de gratuité. (eeh!) Dans le milieu, j’emmène les idées… Beaucoup de couleurs, quand le moral est trop gris. (ooh!) Et les problèmes veulent me vider… Mais plein de courage, je me forge et me dis… Refrain : Le bonheur… est en moi! J’ai de l’air et de l’amour! Quelque soient mes avoirs, tout m’convient, je l’avoue. Le bonheur… est en moi! J’ai de l’air et de l’amour! Quelque soient les histoires, j’me sens bien, je l’avoue. La galère je l’ai contré, En gentil philosophe, je l’ai affronté. Ouais! Comme tout le monde, je peux me tromper, Mais j’avance, sans les conflits, que je peux compter. Nah! Je suis gentil, et pas un crétin, Tu pourrais bien le voir, en entretien. Ben ouais! Beaucoup se perdent, dans le pétrin, Mais rempli de valeurs, et je me contiens. Ben ouais! Chacun ses normes, et ses entités, Et dans la douleur, personne n’est acquitté. On peut surmonter, dans l’intégrité, Mais dans la vie d’Homme, il y a de la gravité. (Eh) Ça ne veut pas dire qu’il faut hésiter, Quand l’avis dans le cœur nous fait léviter. Ouais! Et les problèmes veulent me vider… Mais voyant l’avantage, je me force et me dis… (Refrain) C’est la sensibilité, qui forme notre humanité. J’oublie pas l’humilité, et une touche pour l’égalité. C’est pour ça, qu’il faut éviter, les songes très mal alignés, Quand c’est dans la société, qu’on ne peut que vite s’abîmer. Mes principes sont de béton, mes desseins sont infroissables. Mais je dois me lever tôt, pour devenir responsable. Cherchant les bonnes compétences, malgré toutes mes qualités, Je vis la vraie récompense, car je me dis que… (Refrain) 2 fois
5.
J’ai envie de te dire, que mes sens, sont en ébullition, Par ce parfum, que tu répands, de ta peau, et ses ondulations. De la robe aux vêtements simples, que tu portes, j’observe ta structure, Qui me laisse dans ce rêve, où je contemple, ma femme du futur. Ta curiosité, et sincérité, me laissent sans voix, Et je suis le pêcheur agité, car pour te prendre, je serais sans loi. Le désir m’a agrippé, et ma pulsion, je la diffuse, Dans ma part d’humanité, par ce plaisir, qu’est ton effluve. Refrain : Que pourrais-je te dire, quand je te vois, et que je plane, Quand tu me fais subir, par la distance, que tu profanes? Tu es trop proche de moi, tu viens d’allumer, une flamme, Je suis en émoi, car tu me laisses, ton parfum de femme. Ton passage est insensé, car à tes côtés, j’oublie tout. Et je sais que ton intention, n’est pas de montrer, tes atouts. C’est plus fort que moi, tu ne sais pas, j’suis un gars sensible, Condamné à l’amour, de ses ébats, je suis passible. Tu te passes quelques doigts, en arrière, de ton oreille, Est-ce parce que tu m’as vu, ressortir, de mon sommeil? Mon aura est troublée, par les flux, de ta chevelure, Mais je ne peux t’aborder, car sur le coup, je sens la bavure. (Refrain) 2 fois Je sais qu’tu te plais, à me laisser, dans un frisson, Mais saches que je m’assume, sans m’isoler, dans un buisson. C’est l’attrait d’un échange, et tu peux voir, ma retenue, Mais je serai, très poli, même si je t’veux, toi l’inconnue. (Refrain)
6.
C’était l’ère de la fin 90, dans un lycée. Un ado sans malice, écrivait son odyssée. Peu connaissait son nom, mais celui de son grand-frère, Mais lui s’en faisait seulement, de ses petites affaires. Un cahier, un stylo, et plein d’imagination, Lui faisaient créer sa philo, pour une meilleure nation. Les joues, un peu rondes, et le dos très voûté, L’empêchaient pas, d’écrire des contes, pour aider les envoûtés. Sa terre natale, était fragile, et bien calme, Mais beaucoup de comptables, voulaient la voir sous napalm. Alors il cacha toutes ses larmes, sur la feuille avec de l’encre, Rêvant de la voir sortir du drame, par la mort de ses cancres. Évidemment, à part les siens, le support venait à manquer, Et il n’était pas magicien, pour éviter d’être écarté. Alors il prit de la réserve, et de la simplicité, Pour former ses propres armes, pour une efficacité. Refrain : Il était près de toi, disait jamais rien pour délirer, C’était le gars classe, les siens l’appelaient «Igor…» Il était devant toi, disait jamais rien pour te priver, C’était le gars bien, les siens l’appelaient «Igor…» Il était derrière toi, disait jamais rien pour t’enivrer, C’était le gars calme, les siens l’appelaient «Igor…» Il était là pour toi, disait jamais rien pour se livrer, C’était ton gardien, les siens l’appelaient «Igor…» (Bis) Tu l’as déjà vu, sans jamais faire attention, Mais sache qu’un beau jour, il te montrera ses passions. De l’aménagement du cœur, ou de ton territoire, Il te laissera la mélodie ou de l’écriture notoire. Car au fond de lui, même si les mots sont précieux, Il saura te dire, quand il touchera les cieux. Car c’est pour toi qu’il se bat, à faire vivre ses visions, Suis le signal, pour qu’il t’embarque, à la fin de ses missions. Refrain : Il sera près de toi, et saura te dire de délirer, Étant le gars classe, tu pourras l’appeler «Igor…» Il sera devant toi, sans jamais te dire de te priver, Étant le gars bien, tu pourras l’appeler «Igor…» Il sera derrière toi, et saura bien te dire de t’enivrer, Étant le gars calme, tu pourras l’appeler «Igor…» Il sera là pour toi, sans jamais te dire de te livrer, Étant ton gardien, tu pourras l’appeler «Igor…» C’est l’histoire, du vrai gentilhomme, «Igor» (fois 4) … «Igor…» (fois 4)
7.
Excuse-moi miss, aurais-tu trois minutes pour m’écouter? Tu dois t’en douter, L’empressement et la rage en moi, ne font qu’augmenter, alors je ne peux me dérouter. Ce n’est pas le temps de la confession, mais c’est en compression, que je viens pour discuter, J’ai beaucoup de questions, qui proviennent d’impressions et me mettent la pression, à m’en dégoûter. Peux-tu me dire pourquoi la guigne, vient se coller à moi, comme une vieille sangsue, Pendant que toi tu baignes, dans des relations de choix, et que tu tiens toujours à l’issue, à user de la massue? C’est toi qui donne le coup de grâce, quand le poids de notre lien, s’alourdit comme l’enclume, Et on tombe tous les deux, moi sur la face, et comme par hasard, toi tu te poses comme la plume. Je me suis, comporté, comme un gars bien, dans l’action et l’échange, Mais pour toi, on dirait, que je ne vaux rien, comme une faible valeur de change. Et tu voudrais que je garde le contact, comme si c’était très normal, De garder le cœur compact, dans la crainte de se faire mal. Je n’ai rien à faire, de ton statut, Ou, de tes photos, prises sur ton réseau social. Je préfère vivre l’enfer, que de rester, Là à tes côtés, sans de vraies raisons spéciales. Refrain : Désolé, mais j’suis pas un salop…, Et tu sauras que j’ai compris, Que «t’es pas un cadeau…», Quand tu me déprogrammes. Je n’ai rien contre l’indépendance, mais ton comportement, crée ma décadence. Et pourtant je mérite, une meilleure récompense, mais devant tes manies, je vois l’évidence. J’ai hérité, de ta grande angoisse de vouloir accomplir tes projets, sans te prêter aux soupirs, Me laissant dans la poisse et un tas d’émotions qui me portent à me tromper ou souffrir. Est-ce que tu m’vois remonter, quand j’t’emmène comme l’ascenseur, Quittant tout ce chaos…? Si oui, pourquoi ta ligne de mire, me présente comme l’oppresseur, Quand je me jette à l’eau…? (Refrain) Bis Outro : Excuse-tu dis…? Rien à foutre Tu veux d’la compagnie…? J’ai des doutes T’as honte, tu ris… comme une loutre. T’es trop tannée…? Ben à la notre! (Bis)
8.
Dans la peau du solitaire, J’ai suivi ma seule chance, Où j’étais propriétaire pour gérer mes seules sens. Nul n’était plus, et nul n’était moins, Pas de méprise, car pas de témoins. J’ai refusé de voir, j’ai refusé de croire, Que j’étais la poire, maillon faible, le poids. Rien de sinistré, rien pour administrer, Ou bloquer l’état de veille où je m’enregistrais. Dans mon processus, anti-consensus, Que tu fusses ou réussisses, le petit con s’en «crisse». J’étais comme morbide, crasse, toujours en orbite, Face à la casse, j’étais endormi, là (lasse) sur place. Mais ils sont partis, Tous contrariés, Je ne savais même pas pourquoi, J’étais la viande avariée. Trop tard pour faire le nombre, J’étais la honte, j’étais immonde, En attendant, j’ai fait le moine, Avant que le monde m’inonde. Refrain : Si j’avais su, que j’aurais à le regretter. Si j’avais su, que je devais tout répéter. Si j’avais su, que j’oublierais ce côté. À mon insu, j’ai vu le bien se retourner. Si j’avais su, je l’aurais affronté. Si j’avais su, je me serais ligoté. Si j’avais su, je me serais arrêté. Je suis en dessous, plus rien pour remonter. «Égalité»*3 (4 fois) Dans la peau du sauveteur, j’évitais le singulier, Et de jouer au séducteur au «cash flow» régulier. Périple pour la cause, quand tous se reposent, Je voulais, sauver pauvres, faibles, et lépreuses. Alors j’ai creusé, pour eux je me suis privé, À en crever, que j’ai tout livré, j’ai dérivé. Et j’ai rendu service, sans demander mon reste, Ou qu’on me le redonne fois 10, en noyant les promesses. Je voulais donner un sens, à l’humanité, en dualité, Voir renaissance et réalité, en pluralité. Malgré le manque d’engagements, et de gestes, J’ai cru que le temps, ferait de moi sa majesté. Mais elles m’ont dit que c’est malsain, et que j’ai ça dans le sang, Ils m’ont dit que c’est assez, sans comprendre la leçon. Trop tard, j’étais le bonze, et la bonté, d’un vieux ponte. Mais devenu dingue, je voulais un monde qui s’affronte. Refrain Si j’avais su, que j’aurais à le regretter. Si j’avais su, que je devais tout répéter. Si j’avais su, que j’oublierais ce côté. À mon insu, j’ai vu le bien se retourner. Si j’avais su, je l’aurais affronté. Si j’avais su, je me serais ligoté. Si j’avais su, je me serais arrêté. Je suis en dessous, plus rien pour remonter. «Autorité»*3 (4 fois) Dans la peau du sal porc, Je n’avais plus rien à foutre, Que tu sois mort, à terre, ou, cacher dans la soute. Je voulais écraser abaisser braver oppressé, Sans voir que j’avais laissé aggravé ou blessé. Tout était mien, par la colère, tout était laid, Aucun délai, je voulais ma part, et tout intérêt, De suivre la voie du péché, la confiance arrachée, Était ma gloire cachée, quand je la voyais se détacher. J’étais la grande détresse, pour les bonnes maîtresses, Et je portais la tristesse, pour que les gens me détestent. Un inconscient, qui voyait, presque tout dans sa main, Sans réactions, ou moyens, de penser où ça mène. Mais ils m’ont tous dépassé, j’ai vu mon nom s’effacer, Ma famille me classer, mes amis se lasser. Trop tard, faut que je m’éteigne, j’ai trop de peine, rien m’épargne, Maintenant, que je saigne, j’entends le monde qui me parle. Refrain Si j’avais su, que j’aurais à le regretter. Si j’avais su, que je devais tout répéter. Si j’avais su, que j’oublierais ce côté. À mon insu, j’ai vu le bien se retourner. Si j’avais su, je l’aurais affronté. Si j’avais su, je me serais ligoté. Si j’avais su, je me serais arrêté. Je suis en dessous, plus rien pour remonter. «Maturité»*3 (4 fois). Ouais! Si j’avais su… J’ai appris, maintenant je tri, Quelque en soit le prix.
9.
C’est la formation de notre bulle secrète, où on se sent légers. T’es ma demoiselle, et l’amour je sécrète, en homme privilégié. Avec toi isolé, je ne compte plus le temps, et encore moins, mes sous. Je te prends comme un remontant, qui ne m’a jamais déçu. Notre rencontre inusitée, sur un sentiment, inévitable, Me mit en proie à léviter, mais devant toi, t’es irritable. Pourquoi dévier mon regard, quand mes paroles font tes éloges? J’ai su pénétrer dans tes remparts, pour t’élever comme font les anges. Refrain Pourquoi tu cherches si loin, quand ton cœur veut s’ouvrir? Je suis auprès de toi, contemplant tes fous rires. Tu voudrais t’évader, en gardant le sourire? Regarde à tes côtés, il y a un bon gars, à découvrir. La femme est comme l’équation complexe, qui toujours, est égale à 2. Dans mes calculs, je reste très perplexe, la rêvant assise sous un ciel bleu. Mais la chance s’éloigne trop de moi, et le résultat c’est la belle diablesse, Dont les fautes écœurantes me noient, pour le poids d’un corps plein de faiblesses. Est-ce ma faute, si je prends trop le temps, de t’écouter ou de te connaître? Je n’manque pas de cran. Peux-tu me dire, si tu veux un homme, ou bien un maître? Si j’suis docile, car c’est mon cœur, avant mon compte en banque, Alors j’suis le piètre séducteur, qui n’a pas de compte à rendre. (Refrain) Le plaisir je le veux intemporel, mais je suis découragé, Qu’on s’enlise dans autant de querelles, comme des bestioles enragées. La vie est courte, et non un long métrage, pourvu de synopsis, Pourtant je lis en toi, le naufrage, qui vient du fait que j’insiste. Je ne voudrais que ton vrai bonheur, et telle est ma ligne directrice. Mais en moi, tu ne vois qu’une horreur, qui active ce qui te rend triste. As-tu compris que vieillir à 2, c’est d’aider dans le bon et dans le mauvais. Si oui, regarde dans mes yeux, tu verras qu’en moi il pleuvait. (Refrain) * 2
10.
J’ai trop laissé parler mon cœur, quitte à avoir les yeux mouillés, Maintenant pour moi il paraît clair, qu’il est l’heure de t’oublier. Oui je reste un homme, et désolé, je prends le large. Mon âme doit rester noble, quand tes mots la mettent en marge. J’en ai bien trop dit, et je m’en veux, mais il suffit. Si tu n’as rien compris, je te laisserai t’en sortir. Chacun sa vertu, pour s’empêcher de souffrir, Si c’est notre aventure, voir ailleurs, c’est pas si pire. Fini les compromis, qui ne font, que nous abîmer, Quand tu me crois soumis, et que je peux le deviner. Te parler m’a trop vider, je suis en perte d’énergie… Je ne veux plus t’illuminer, je viens de perdre la magie. C’est dans tes au-revoir, que je l’avais pressenti, Que tu confonds un naïf, avec un gars très gentil. Alors Tant-pis… Tant pis… Tant pis… Oublie-moi Tant pis… Oublie-moi Tant-pis…

about

Projet d’album mettant de l’avant le concept de Bon Gars. L’objectif de cet album est de montrer que le bon gars existe encore et qu’il est de plus en plus difficile d’établir des relations durables avec ce type de personne qui est positive en soi. Dans tous les titres, Aldric est accompagné du groupe Natura Lucis. L’album «Le Bon Gars» est aussi l’outil premier de Lizzard Seven Music pour contribuer à retirer les stéréotypes posés sur le Hip-hop d’aujourd’hui.

credits

released July 21, 2013

Auteur/Interprète: Aldric Ntsandi-Akendengue
Compositeurs: Aldric Ntsandi-Akendengue & Simon Éthier
Collaboration: Natura Lucis (Laury-Ann Miller, Fatima Keraa, Jennifer Gauthier)
Enregistrement/Arrangements/mixage: Simon Éthier
Conception visuelle: Rodrick Sicotte

(P)&(C) 2013 - Lizzard Seven Music

license

all rights reserved

tags

about

Lizzard Seven Music Montreal, Québec

LIZZARD SEVEN MUSIC est une Maison de disque créé en janvier 2012 et officialisée le 14 décembre 2012.
LIZZARD SEVEN MUSIC dispose de 3 entités qui permettent représenter et de diffuser sa musique :
1. Aldric Lizzard Seven
2. Stilio Sound
3.Natura Lucis
LIZZARD SEVEN MUSIC œuvre dans la reconnaissance de la beauté de la langue française de l'instrumental.
... more

contact / help

Contact Lizzard Seven Music

Streaming and
Download help

Report this album or account

If you like Le Bon Gars, you may also like: